... qui nous sépare de l'auguste.
Parmi les monstres sacrés de ce jeu qui nous tient comme le morpion s'accroche aux gonades du rond-de-cuir qui a le sudoku quand il a perdu le Nord des fondements du fonctionnariat, je vais aujourd'hui, l'an de grâce mais foutez-nous la paix avec vos gilets laids, vous abreuver d'un nectar de joueur découvreur de pépites intenables et pluvalutières : Nico36.
Nico est né dans le 36, un beau jour du mois de mai ou alors septembre, mais ça dépend des boules ces trucs-là. On sait extrêmement peu de choses sur lui. Ses camarades de classe le surnomme Nico parce qu'il se prénomme Nicolas, c'est dire à quel point il y a un pouvoir imaginatif sans limite chez l'enfant. On se moque un peu de lui parce qu'il est boursier, mais il fomente sa revanche en dévorant tous les Mickey qui parlent d'Oncle Picsou.
Passons sur ces longues années à se faire ièche sur les bancs d'école afin d'apprendre absolument tout ce qui ne vous servira pas, et plongeons-nous dans une époque de plénitude où le petit Nico prend sa revanche grave du chien.
Quand il débarque sur le Jeu, il n'y a rien, que des peines au turbin ou que des range ta nouille à crédit et va cueillir des pissenlits. D'entrée de jeu, il s'impose d'une force qui frise la farce. L'adversité est allblackboulée, bulldozerisée, réduite à TPMP ou son pléonasme, c'est à dire rien, le néant !
On se courbe, on se prosterne, on bégaie on my knee (en français, on est un gnou qui baille roux).
Seul Nakama flotte a little (en français : flûte c'est Lidl, on est mal, patron).
Du coup, je sais pas vous, mais moi je me plonge dans sa sélection, j'essaie d'en extraire la substantifique moelle, comme dirait mon chien imbattable en histoire d'Os.
Résultat de mes courses : Editions du Signe ! Purée ! Editions du Signe. Mais ce mec est un génie !