* Et plus tu vas au fond, plus tu t’enfonces !
Mais quand, Cornebidouille, nos héros vont-ils enfin toucher le fond du fond ? C’est le fin du fin de ce texte sublissime qui rappelle (à gâteau mais sans la cerise) que nous prenons le chemin des abysses, tous autant que nous sommes. Depuis que je vous quittai pour mon yacht,, vous avez tous plouffé de la bouée canard en manque de rustine. Quel naufrage, quelle plongée, quelle noyade. Tous ceux qui étaient en slip pour avoir honni le short, sont quasiment nus désormais. Et parmi tous ces « à poils » de la plus-value, des noms parmi les plus grands. Je les aurais bien épargnés, vu qu'il fut un temps où ils avaient du crédit, mais désormais je les débite en tranches et volontiers.
Je fustigerai le Phiphi, oiseau tellement déplumé, qu’on peut désormais le trouver au Jardin des Plantes entre le Diplodocus et le Mégathérium. Cet Aptéryx du bon, a quasiment disparu du capital et se fossilise en 231ème position.
Je dégommerai le demi-dieu Nakama. Un demi-dieu qui sent la bière et le sapin dans la tronche. 229ème avec une seule valeur dans le vert (Emailvision + 6,63%).
Je flagellerai sans chichi le Chinchin (-43,54% depuis le début de l’an). De même, plus du tout question d’aller in Bed with Seb avec Bedseb. 233 ème et 43,69% de moins-value, pfff…même pas vite fait sur la moquette trouée. Enfin sous le pucier cradot des moins-values qui gonflent je balaierai : l'Ugoliza ridiculisé, le Pécunia pécuniairement insolvable, le Krisse en croix. Pour mémoire, je noterai que le Sylvain il a disparu depuis, et enfin que le François 16 stompe.
Au vu de cette débandade d’investisseurs en slip, une seule certitude m’habite : il n’est ici qu’un héros rococo qui fait penser à Rocco. Si Freddy n’est point son nom, Labadie est son poinçon (+30,96%).