Vous me connaissez ? Non, vous ne me connaissez pas ??? Et ben oui, j'aime le bla-bla, les jeux de mots, les francs délires à deux balles, les contre-pieds et passements de jambe syntaxiques. Et ben oui et ben non. Sommeille en moi ou se réveille parfois, l'ex-gérant de portif reconvertit dans l'onanisme forumien. Un organisme froid et pragmatique à la limite du robot...comme un camion, certes. Celui-ci se dit à la lecture quotidienne de vos scores en forme de rodomontade : "ben, c'est pas mal tout ça, mais s'ils avaient rien fait du tout". Les ceusses du début, quoi, les pionniers...s'ils avaient gardé leur premier portif, au lieu de les tripatouiller chaque année en étant persuadé qu'ils feront mieux. C'est que notre nouvelle fiscalité boursicotière semble favoriser nettement ceux qui ne font rien, ceux qui ne s'agitent pas, ceux qui sont les chantres mous du "mieux ennemi du bien". Hein...
Qu'en est-il des scores bruts (et non pas des scorbuts) de ceux qui voudront bien garnir ce topic majestic ? Et surtout qu'en est-il de leurs scores nets (et encore moins de leurs sornettes) : sans impot sur les plus-values mais prélèvement social pour les" touche-à-rien", avec impot sur les plus-values et prélèvement social pour les "touche-à-tout" ? *A ce propos (et pardonnez mon inculture de blonde), les prélèvements sociaux s'appliquent-ils bien aux plus-values finales de ceux qui ne font rien.
Pour comparaison de départ, je me suis permis de faire ce calcul pour le premier des vétérans (présent depuis janvier 2004), Benjamin :
Sans gestion, sans imposition 2004-2006 : *2,78 fois le portif de départ
Avec gestion, avec imposition 2004-2006 : 2,58 fois le portif de départ
Notre ami Benjamin serait-il un cas isolé ? Je vous invite à déposer vos calculs édifiants en sous-sol de cette mélodie du "qu'il est doux de ne rien faire, quand tout s'agite autour de vous".
* prise en compte d'un prélèvement social de 11 %.