Bull One enterrée, voici Bull Two, une version trash, qui carandache, qui cravache, qui arrache ! Finis les ptits portifs, miniatures rafiots bâtis à la va-vite intégralement en crottes de nez! Ya du katamaran, du trimaran, de l'hydro-foil, de l'aile surfante sur coussins volants modèle aladin. On a changé de catégorie. Les pirates de la tech ont sorti leurs coutelas et arraisonnent, culbutent, pourfendent, enfilent direct, hussardent, malmènent, éventrent et franchement si les vents sont favorables et que ça veut rigoler, les 90 % de BenJ40 sur le premier Bull seront désintégrés, passés à la moulinette, hachés menu !
Prenez le portif de "ne m'appelez plus BenJ, servez-moi du Benjamin". C'est de la dynamite en bâton. IT Link, vous avez bien lu, IT Link, sorte de TNT pour investisseur en mal d'explosion, fait partie de sa sélection. Et déjà c'est la pétarade, l'éclatade, la pipérade (de boursicoteur éparpillé). + 15,58 % hier. Vous n'allez pas survivre !
Autre exemple. EVP1, cador indubitable (en un seul mot), est parti à la barre d'un projectile marin. Pas de lest, juste une barrique de warrants qui fument ( calls Axa, SG et Suez), quelques surgelés de frites (Léon de Bruxelles) et en route pour Compobaie ! Ca passe ou ça finit en buchettes à Noël !
Fday, revanchard jusqu'au bout du cure-dent, a repris quelques jambes de bois et manchots du premier Trafalgar (Eski Group, Esker, Guillemot) auxquels il a nelsonné les cloches (Bigben interactive), et ainsi fourbi, tentera de ne pas rejouer un Water(prend)loo sur cette mer déchaînée de la version 2005.
On est bien loin des jolis trois-mâts confectionnés avec amour chez Bricorama et qui nous promettent l'Iliad (Hubisan), ou les frêles frégates mettant cap à l'IDsud (Mareva et RV) et qui sentent l'Inter Parfums des Iles (Raskolnikov). On va sniffer de l'hémoglobine, yaura de la tripaille jusque sur le mât de misaine et de la ripaille du fond de cale à la vigie. Hardi moussaillon, cramponne-toi... ça va souffler !