Au premier abord, le lien n'est pas forcément évident. Mais après quelques secondes de réflexion, cela cuscute au tarin comme un colombin sur une toile cirée. Il existe deux personnages parfaits sur cette terre : Okavongo et Mylène Farmer. J'ai mis Mylène Farmer en deux, grâce à une bonne scie sauteuse Husqvarna, comme ça, enfin, on n'en parle plus. Mais Okavongo ?! O - ka - von - go, Boulie mon ami !
Un Nakama +++ !!!
Retour sur image, si t'étais pas là du rond.
Ce maître - maître cinquante au garrot tout au plus - du trade qui fume et de la plus-value qui n'en veut, a éclaboussé d'une classe entre étourdissante et bloubloutesque le monde pantois de la confrérie des "je t'aime pognon". Dès sa première apparition, il a mis à genoux tous ces manants confits en glouglouterie flousifère et a fait de la saison 13 du feuilleton - qu'on s'arrache à Cap-Breton et Culmont-Chalindrey, pour Mesnuls-les-Fargeaux, changez à Denfert-Rocheteau sur penalty - l'une des raretés de ce bas-monde qui n'est pas près de se relever.
Et là, bim bam boum, rebelote, tierce majeure à l'atout, quinte flush et son haricot de mouton, il marche déjà sur l'eau de la saison 14, quelle est même pas cécommen.
Le gars commence à nous la courir menu, se turlupinent les manants confits sus-cités.
Mais qu'a-t-il donc mis dans son petit panier de hurdler de la daube qui fuit et de la pépite qui jouit, pour fulliginer de la sorte me direz-vous que j'm'en fous ?
J'en sais rien, demandez à Gaepre, faut que j'recolle le pansement fermier inaudible.