Pour tous ceux qui s'intéressent juste un poil à l'actu des pipeules de la pépite en gelée, le nom d'Uchimata est familier. Il figure parmi les cinq têtes à claques du Mont Rushmormoilatout' , monument interstellaire érigé pour célébrer le Jeu qu'on s'arrache tout partout et pour pas un sou, et où figurent taussi la divinité Nakama et le gaz rare, moi.

Dans la vie il y a les maîtres du jeu, et puis il y a la multitude grouillante et infâme, celle des nains de jardin. Nakama, Okavongo : des demis-dieux qu'on vénère, qu'on s'agenouille, qu'on bidouille, qu'on citrouille en espérant transformer notre citrono-pipo en carrosse doré. Et puis il y a les substances, les gaz rares, les arc-en-ciel, les Delon. Sont tellement peu que je viens de tous les citer à défaut d'un : Nico36 !

Au premier abord, le lien n'est pas forcément évident. Mais après quelques secondes de réflexion, cela cuscute au tarin comme un colombin sur une toile cirée. Il existe deux personnages parfaits sur cette terre : Okavongo et Mylène Farmer. J'ai mis Mylène Farmer en deux, grâce à une bonne scie sauteuse Husqvarna, comme ça, enfin, on n'en parle plus. Mais Okavongo ?! O - ka - von - go, Boulie mon ami !

Un Nakama +++ !!!

Retour sur image, si t'étais pas là du rond.

Ils se sont rués comme des bêtes et dès la première étape avec un seul objectif hurlé : brandir, brandir le pot-de-chambre en marbre que Topikeur a dû lâcher en chialant comme une madeleine qui ne viendra pas, dire qu'elle est trop bien pour lui comme dit son cousin willy.

Certes, il faut bien porter le pet, Quenaud n'a pas pris le départ non plus que The Bull sans qui je n'aurais pas la joie incommensurable de vous narrer les péripéties de cette épopée qu'on nous envie ici ou bien là-bas.

Après une lutte épique qui pique, Topikeur est venu coiffer les poils du cul d'Okavongo retourne au Congo à pied ou à ouélo. C'est lui le Pokémon marteau qui peut brandir fièrement le pot de chambre en marbre, et franchement on l'a tous mauvaise de ne pas brandir à sa place !

Pascal711 + 36 et je ne retiens rien, a bien mérité et s'empare de la troisième marche sur deux podiums, que c'est beau, j'en pète des ronds de chapeau !

C'est la dernière ligne droite, la banderole (mais qui est donc ce role ?) y flotte au bout ! Le suspense (non il ne s'agit pas d'Alain, célèbre champion de ski des années 70) n'est pas soutenable (qui est le souteneur, c'est Jean-Marie ?). Hier soir Okavongo, roi du congo oka où vous ne le sauriez pas, a repris la teté à Topikson, envoie du son ! Tout cela se joue à un poil de cul de Greta Pipow (en vue dans "L'arrière-train sifflera trois fois", notamment). Ca va se jouer au couteau ou à la Xilam.

Nous abordons le dernier tournant de cette fresque mouvante de portefeuille qui fuient vers leur destin : disparaître au 31.12. Après avoir compté un bon océan d'avance, Okavongo j'en veux du Congo, est redevenu humain et tremble sous la menace d'un tueur bien connu, Omar Topikeur. Je vous connais, vous vous demandez quel type de yatagan ce pokémon en solde à prisunic va brandir pour découper l'Okavongo en fines lamelles feuilles de paie à l'éducation nationale. Il a du Coil et du Xilam Animation, armes fatales qui ont triplé de volume que ça fait baver.

Alors que les tenants d'une reprise de volée des marchés prennent une volée que ça a pas marché, les joueurs de matières premières se voient déjà champions. Chez nous du jeu que tout le monde s'arrache, deux super-vedettes se disputent le pot de chambre en or que l'un des deux devrait brandir en fin de saison si tout va bien et si les sangliers ne mangent pas des cochonneries entre temps.

... à la cave on y go gros nigaud, et pourtant nan, avec Okavongo la bourse est un long fleuve tranquille comme celui du mékongavo, en chine du vietnam ou quelque part par là. Il se pourrait qu'Okavongo soit un pur produit de l'école des investisseurs françois, expert en jonglage de boulets (Sears Hometown, Era Group), et mines offensives (True Gold, Red Eagle, Teranga Gold). Le tout pétri pétrifie l'adversité d'une force entre 12 et 14 sur l'échelle de Sygmund Patachou hiboux cailloux genoux.

Jadis All-blackboulé par tout un pack d'investisseurs pépitiers, Gaepre le preux brandit son pieu et pourfend les mêmes dont le score - pour l'heure - fait pitié.

Gaepre, digne rejeton du disparu des écrans Labadie, nous a confectionné un portif en peau de fesse, baissier de sa culotte qui nous montre - en ces temps de déculottée - que des profits joufflus vous pendent au nez, dès lors que vous vous la jouez à découvert.

Petit chorus fessier !