De retour de vacances passées à contribuer à l'essor de la particule fine et à l'élargissement du trou dans la couche d'ozone, nous faisons ce triste constat : hélas, rien a changé. Le pseudomisé Lechinchin, à califourchon sur une gélule qui te met le diabète aux oubliettes, mène la danse avec tellement d'avance, que tu penses au suicide par overdose de bigmacs ! Pire ou mieux ou mirepieux, l'animal fond sur les piliers du jeu à la vitesse d'une motte de beurre au cœur de l'été dans une scène censurée de « l'Arrière-train sifflera trois fois ».

Alors que la majorité de nous et de moi s'apprêtons à gasoiler les routes et à particuler finement le reste, le classement du Jitébé se met-il à puer aussi un ptit peu ? C'est que les scores s'effritent comme en Belgique et qu'à part le ptit Quinquin, les autres ont perdu le Nord et mettent cap au Sud du sous CAC ! Un tiers dans le vert et deux tiers dans le rouge, c'est le signe que la cote prend l'eau et qu'on picole pour oublier. Du coup je vous fais pas le détail, y fait chaud, j'ai la flemme et j'ai la tête comme un ballon foot !

Bonnes vacances, épicez tout !

Le grand gourou austalopiteux Nimport Nawak a pris les commandes du jeu qu'on nous envie que je ne vous raconte pas tellement. Sous la forme pseudomisée de Sly, Nimport Nawak impose de vétrou la pépite à deux ronds ou le pari à trois francs qui transformera ton portif boxer-short aux abonnés absents, en sélection slip kangourou coucou la voilà, modèle Rocco si Freddy m'était conté.

Qui est Sly : on s'en fout. Comment fait Sly, c'est tout ce qui compte.

Dès la première semaine du jeu qu'on en peut plus tellement c'est bon du pied, un pseudo vient t'éclabousser ta face que tu fais mine de rien voir. Voyagexotic ! Je sais, tu connais pas, t'es resté à Black Bamby ou à Produpot ou à Uchimataharikiritékanawa ou Nakawama, je sais plus.

C'est fait Proe, par Ivanohé et Pascal Praud, a fini par terrasser l'hydre de l'Herne, Marcello Mastroianni et accessoirement Black Mamba.

Après une lutte qui restera dans les anales du jeu qu'on se déchire de pas l'avoir ailleurs tellement c'est bon, Proe le magnifique, si on le regarde de travers avec des lunettes de soleil derrière un écran de fumée, a remporté la 14 ème édition du Jeu The Bull.

C'est la rentrée et sur le jeu qu'on nous envie de Pergignan à Lézignan en passant par la Lorraine avec mes sabots, l'ouragan Proe souffle sans prendre de gants. Rétrogadé de A, zéphir de ouaoua à E, pet originel, cet ouragan du portif a dans son slip multi-tâches la panoplie complète du Rocco de daubasses.

Pour tous ceux qui s'intéressent juste un poil à l'actu des pipeules de la pépite en gelée, le nom d'Uchimata est familier. Il figure parmi les cinq têtes à claques du Mont Rushmormoilatout' , monument interstellaire érigé pour célébrer le Jeu qu'on s'arrache tout partout et pour pas un sou, et où figurent taussi la divinité Nakama et le gaz rare, moi.

Dans la vie il y a les maîtres du jeu, et puis il y a la multitude grouillante et infâme, celle des nains de jardin. Nakama, Okavongo : des demis-dieux qu'on vénère, qu'on s'agenouille, qu'on bidouille, qu'on citrouille en espérant transformer notre citrono-pipo en carrosse doré. Et puis il y a les substances, les gaz rares, les arc-en-ciel, les Delon. Sont tellement peu que je viens de tous les citer à défaut d'un : Nico36 !

Au premier abord, le lien n'est pas forcément évident. Mais après quelques secondes de réflexion, cela cuscute au tarin comme un colombin sur une toile cirée. Il existe deux personnages parfaits sur cette terre : Okavongo et Mylène Farmer. J'ai mis Mylène Farmer en deux, grâce à une bonne scie sauteuse Husqvarna, comme ça, enfin, on n'en parle plus. Mais Okavongo ?! O - ka - von - go, Boulie mon ami !

Un Nakama +++ !!!

Retour sur image, si t'étais pas là du rond.

Ils se sont rués comme des bêtes et dès la première étape avec un seul objectif hurlé : brandir, brandir le pot-de-chambre en marbre que Topikeur a dû lâcher en chialant comme une madeleine qui ne viendra pas, dire qu'elle est trop bien pour lui comme dit son cousin willy.

Certes, il faut bien porter le pet, Quenaud n'a pas pris le départ non plus que The Bull sans qui je n'aurais pas la joie incommensurable de vous narrer les péripéties de cette épopée qu'on nous envie ici ou bien là-bas.